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Le destin Tibatéen

2 fois par semaine, au mieux, je rajoute des pages de mon histoire sur la S.F

Chapitre deux, Page 1

Chapitre deux, Page 1

            

               Chapitre Deux: Tout destin commence ainsi

 

 

Tandis que le crépuscule se lever sur la Nivé, Tchang, lui, n’avait point dormis de la nuit, cela malgré que le spectacle fût particulièrement magique hier soir.

Mais le problème qui fit réellement son apparition était qu’il ne put se souvenir exactement de ce qui se passa en détail certains jour dans Amasofia, comme il a pu le constater durant la nuit dernière et ce qui était peut-être le résultat de ses décisions qui furent, durant cette période aventureuse, certes, rapides et ingénieuses, mais aussi prises, souvent, à court termes, et cela dans des situations la plupart du temps du genre in-extremis alors qu’ils prenaient la fuite du robot-surveillant à travers la périlleuse jungle.

Tchang arrivait en réalité dans ce stade dit stade de « l’usure psychique ». Parce qu’il ressentait grandement cette usure à présent, la plupart de ses sens sont devenus limités ce qui venait jusqu’à même effacer ses propres souvenirs sur de nombreuses situations, tel que celles qui exigés le plus de ressource-psys envers lui .

C’est pourquoi on pouvait mettre en doute la capacité du chef du groupe à avoir accès, lui aussi, à la mémoire et surtout au point de vue de Traion, ainsi que de Michel.

« C’est sans doute cela Alzheimer avant l’âge », aima-t-il s’auto-dénigrer lui-même, usant de l’humour « auto-dérisoire » d’une manière qui en général n’avait pas de limite, ou du moins jusqu’à maintenant.

« Et dire que tu vas jusqu’à oublier que te radote, toi alors ! » argumenta soudain Michel qui se leva de sa couette d’un bon tout juste à ce moment-là.

« On ne peut pas dire que t’as la mémoire toute fraîche », renchérissait Traion qui faisait semblant de dormir pour l’attendre au tournant, et cela juste pour le « mainmorte » du fameux jour de pêche.

« Oh, allons, c’est bien là que « la mainmorte » vient, non ? on ne pourra pas me dire le contr… » Et voilà que, Paf !... Soudain, un soufflet tout droit venu de l’athlète de service Michel envoya valser par terre notre protagoniste des petites histoires du groupe, ce qui provoqua la demande d’une réponse valable d’un tel geste venu de son compagnion de groupe.

« J’espère qu’elle ne fût pas « molle » celle-là, hips ... ! », dit alors ce soudain ivrogne violent qu’était, alors, devenu Michel, au rôle de l’instant

« Ben ouais mon gars, moi j’en ai ras le cul des petites filles pisseuses toujours cacher derrière leur petites jupes Frrr.. hips… frrreloquettes quoi … burp » ajouta-t-il en rotant, se justifiant, ainsi, de la manière la plus digne d’un homme qui aurait trop bu.

Mais Tchang ne se laissa pas envahir par ses émotions lorsqu’il remarqua la bouteille, certifié Nivéene en plus, que tendais d’une main l’intrépide Traion et compris, puis même tenta, ce qu’il fallait faire dans la suite des événements.

« Tu ne pourras pas dire que celle-là tu ne l’as pas volé ? t’inquiète je parle de la bouteille » expliqua-t-il, ne voulant surtout pas empirer la situation. Lui qui ne perdit son sang-froid que quand ça en valait vraiment la peine. Et ce n’étais vraiment pas le cas, en ce moment, donc, selon lui, de s’énerver davantage à présent.

« T’as trop bu, vieux » première réplique venant de Tchang. Un petit « quoi » ou « je ne comprends pas » venait en moyen de retorque du vieux en question alors, ce dernier jouant, bien entendu, la comédie car il avait horreurs de la culpabilité tout droit venu, et c’était parfaitement justifiable alors, de son leader de chef en personne.

Il lui prit la bouteille des mains, lui lit de manière rétorquable, et à voix haute, le « déconseiller aux amateurs » sur l’étiquette et y assomma, en un grand coup, notre vieux qui se plongea dans le coma par la suite quelques heures durant.

C’est que Tchang, notre leader de chef, avait, quant à lui, le sens de la véritable de cette « justice momentané », confia-t-il à Traion, ce dernier n’ayant pu qu’acquiescer sa réplique étant donné qu’il ne fût pas concerné par l’humeur global de la maison de manière générale : Il était en train, comme la plupart du temps, de recoudre sa flûte en os de mutant pour en « améliorée le son de provenance », tel qu’il en trouvait la formulation de phrases en termes explicatives, ce qui fût, toujours dans ces moments-là, des plus clairs et précis à la fois, comme à son habitude. 

                             

                                                       16/04/2020

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